Le dernier mois de cette année 2011 arrive avec des bonnes nouvelles pour l'équipe de Quilombo Films.
La première:
Jours de poussière de Jérémie Reichenbach sera présenté en avant-première le 8 décembre à 20h00 au Magic Cinéma de Bobigny, dans le cadre de la soirée découverte dédiée au réalisateur.
La deuxième:
Barbara Pellerin, réalisatrice du film Boxing Club de Rouen, histoires des pères a reçu le soutien du Pôle Image Haute Normandie.
La troisième:
Le film Cette mélodie qui vient de loin a obtenu l'aide au développement du Fonds d'aide à l'innovation du Centre National du Cinéma et de l'image animée (15 000 euros). Ce documentaire du jeune réalisateur portugais Miguel Cabral est une coproduction avec la société belge Leïla Films http://www.leila-films.com/
Société de production et distribution spécialisée dans le documentaire. quilombofilms AT hotmail.fr // 3 3 (0) 6 7 4 9 6 9 9 4 0
Line-up 4eme trimestre 2011
A continuation nous vous dressons une liste des nos projets documentaires en préparation / développement / production - post-production:
De chair et de sang (52')
A Bahia Blanca, en Argentine, un abattoir est autogéré par ses travailleurs.
Jours de poussière (18')
Tout semble normal dans cette petite ville du Niger, pourtant un coup d'État vient d'avoir lieu...
Cuba, mi Cuba (70')
Après plusieurs années de résidence en France, un jeune cubain retourne dans son pays pour dresser un portrait de sa famille et le village où il est né.
Quand passe le train (52')
Chaque jour, des centaines d’hommes et de femmes traversent le Mexique entassés sur le toit des trains de marchandises. Le village de La Patrona, au centre du Mexique, est traversé par une des voies de chemin de fer sur lesquelles circulent ces trains. Norma, Bernarda et une dizaine d’autres femmes, nièces, belles-sœurs et cousines, se sont donné pour mission d’aider les migrants.
Boxing Club de Rouen, histoires de pères (35')
Ce film dévoile quatre générations de boxeurs qui dessinent au final le visage “du boxeur” glissant aux différents âges de la vie, abordant ainsi la fuite du temps, le sens de l’existence et la transmission.
Un guignol sans histoires (Un tantôt pour Guignol) (40') en coproduction avec Dynamo Production (France)
Les toutes nouvelles aventures de Guignol, Madelon et Fripouille à Lyon sa ville de toujours.(Recreation de spectacle vivant)
Cette mélodie qui vient de loin (52') en coproduction avec Leïla Films (Belgique)
À Vilarandelo, village reculé du nord du Portugal, une mélodie de flûte se fait entendre au loin dans le paysage brumeux du matin. Une couturière joue avec une paire de ciseaux devant sa porte. La même musique résonne dans les ruelles du centre-ville de Porto. Un boucher attend devant son établissement, un couteau dans chacune de ses mains. Un homme muni d’une flûte de Pan apparaît au loin. Il joue et avance lentement au côté de sa bicyclette. Il s’agit de José, aiguiseur de couteaux itinérant, qui, depuis deux mois, n’était pas passé par là.
Chardons bleus (52′)
Quand Nadia jeune fille Rom de vingt ans devient mère de deux petits jumeaux Abel et David, nés à seulement cinq mois de grossesse, en l’absence de domicile « digne » et étant donné l'extrême fragilité des nouveau-nés, les médecins de la PMI décident de confier les enfants à la DDASS. Claire et Eric, un couple de montreuillois proposent d’héberger officiellement Nadia, Aurel, le jeune père et les deux bébés dans leur pavillon, seule solution, semble t-il, pour que les enfants ne soient pas enlevés à leurs parents. Les médecins ont prévenu que les bébés présentent un risque élevé de handicap. Grâce à Claire et Eric, le jeune couple et leurs bébés se retrouvent provisoirement « à l'abri », tandis que le « clan familial », d¹expulsion en expulsion, survit sur le "long chemin"Š
De chair et de sang (52')
A Bahia Blanca, en Argentine, un abattoir est autogéré par ses travailleurs.
Jours de poussière (18')
Tout semble normal dans cette petite ville du Niger, pourtant un coup d'État vient d'avoir lieu...
Cuba, mi Cuba (70')
Après plusieurs années de résidence en France, un jeune cubain retourne dans son pays pour dresser un portrait de sa famille et le village où il est né.
Quand passe le train (52')
Chaque jour, des centaines d’hommes et de femmes traversent le Mexique entassés sur le toit des trains de marchandises. Le village de La Patrona, au centre du Mexique, est traversé par une des voies de chemin de fer sur lesquelles circulent ces trains. Norma, Bernarda et une dizaine d’autres femmes, nièces, belles-sœurs et cousines, se sont donné pour mission d’aider les migrants.
Boxing Club de Rouen, histoires de pères (35')
Ce film dévoile quatre générations de boxeurs qui dessinent au final le visage “du boxeur” glissant aux différents âges de la vie, abordant ainsi la fuite du temps, le sens de l’existence et la transmission.
Un guignol sans histoires (Un tantôt pour Guignol) (40') en coproduction avec Dynamo Production (France)
Les toutes nouvelles aventures de Guignol, Madelon et Fripouille à Lyon sa ville de toujours.(Recreation de spectacle vivant)
Cette mélodie qui vient de loin (52') en coproduction avec Leïla Films (Belgique)
À Vilarandelo, village reculé du nord du Portugal, une mélodie de flûte se fait entendre au loin dans le paysage brumeux du matin. Une couturière joue avec une paire de ciseaux devant sa porte. La même musique résonne dans les ruelles du centre-ville de Porto. Un boucher attend devant son établissement, un couteau dans chacune de ses mains. Un homme muni d’une flûte de Pan apparaît au loin. Il joue et avance lentement au côté de sa bicyclette. Il s’agit de José, aiguiseur de couteaux itinérant, qui, depuis deux mois, n’était pas passé par là.
Chardons bleus (52′)
Quand Nadia jeune fille Rom de vingt ans devient mère de deux petits jumeaux Abel et David, nés à seulement cinq mois de grossesse, en l’absence de domicile « digne » et étant donné l'extrême fragilité des nouveau-nés, les médecins de la PMI décident de confier les enfants à la DDASS. Claire et Eric, un couple de montreuillois proposent d’héberger officiellement Nadia, Aurel, le jeune père et les deux bébés dans leur pavillon, seule solution, semble t-il, pour que les enfants ne soient pas enlevés à leurs parents. Les médecins ont prévenu que les bébés présentent un risque élevé de handicap. Grâce à Claire et Eric, le jeune couple et leurs bébés se retrouvent provisoirement « à l'abri », tandis que le « clan familial », d¹expulsion en expulsion, survit sur le "long chemin"Š
En préparation
Boxing Club de Rouen, histoires de pères
Un documentaire de Barbara Pellerin
Le Boxing Club Rouennais a été fondé dans les années 50 par Bernard Emmo qui aménagea des cours de boxe pour les jeunes des quartiers défavorisés de Rouen, avec l’espoir de leur donner une leçon de vie, des valeurs, et des repères, c’est ce qu’on a alors appelé la boxe éducative. Aujourd’hui, la salle a gardé cette spécificité, et accueille, entre autres, les boxeurs qui se voient refuser l’accès aux autres clubs.
La salle a vue passer boxeurs amateurs et professionnels de tous âges et de tous niveaux. Quelques champions ayant eu une carrière plus ou moins longue en équipe de France en ont fait sa réputation.
Entraîneurs, éducateurs, boxeurs, anciens champions, ce film dévoile quatre générations de boxeurs qui dessinent au final le visage “du boxeur” glissant aux différents âges de la vie, abordant ainsi la fuite du temps, le sens de l’existence et la transmission, car dans cette histoire de boxe, il y a surtout des histoires de pères.
Un documentaire de Barbara Pellerin
Le Boxing Club Rouennais a été fondé dans les années 50 par Bernard Emmo qui aménagea des cours de boxe pour les jeunes des quartiers défavorisés de Rouen, avec l’espoir de leur donner une leçon de vie, des valeurs, et des repères, c’est ce qu’on a alors appelé la boxe éducative. Aujourd’hui, la salle a gardé cette spécificité, et accueille, entre autres, les boxeurs qui se voient refuser l’accès aux autres clubs.
La salle a vue passer boxeurs amateurs et professionnels de tous âges et de tous niveaux. Quelques champions ayant eu une carrière plus ou moins longue en équipe de France en ont fait sa réputation.
Entraîneurs, éducateurs, boxeurs, anciens champions, ce film dévoile quatre générations de boxeurs qui dessinent au final le visage “du boxeur” glissant aux différents âges de la vie, abordant ainsi la fuite du temps, le sens de l’existence et la transmission, car dans cette histoire de boxe, il y a surtout des histoires de pères.
En tournage
Un guignol sans histoires (Un tantôt pour Guignol)
Quilombo Films s'associe à Dynamo Production pour les toutes nouvelles aventures de Guignol à Lyon sa ville de toujours!
Madelon et Guignol devraient bientôt fêter leur 200 ans de mariage, mais Madelon n'a pas le moral : depuis bien longtemps elle n'occupe que le second rôle dans les spectacles et a aujourd'hui besoin de reconnaissance. Aujourd'hui c'en est trop ! Surtout que Guignol a carrément oublié la date de leur anniversaire de mariage. Fripouille l'ennemi juré de Guignol, qui s'est depuis peu improvisé producteur de spectacles vivants, va facilement convaincre la belle Madelon de le suivre pour monter un nouveau one woman show. Madelon quitte donc le théâtre de Guignol avec Fripouille. Heureusement pour Guignol un petit groupe d'enfants a assisté à ce simili enlèvement. Guignol et les enfants vont partir sur les traces des deux fugitifs…
Réalisation : Jérémie Reichenbach
Durée : 52' (4x13')
Production : 2011
Coproduction : Cap Canal / TL7 / Avec le soutien de la Cie Les Zonzons et la participation du Centre National du Cinéma et de l'Image Animée
Producteur délégué: Philippe Djivas
Quilombo Films s'associe à Dynamo Production pour les toutes nouvelles aventures de Guignol à Lyon sa ville de toujours!
Madelon et Guignol devraient bientôt fêter leur 200 ans de mariage, mais Madelon n'a pas le moral : depuis bien longtemps elle n'occupe que le second rôle dans les spectacles et a aujourd'hui besoin de reconnaissance. Aujourd'hui c'en est trop ! Surtout que Guignol a carrément oublié la date de leur anniversaire de mariage. Fripouille l'ennemi juré de Guignol, qui s'est depuis peu improvisé producteur de spectacles vivants, va facilement convaincre la belle Madelon de le suivre pour monter un nouveau one woman show. Madelon quitte donc le théâtre de Guignol avec Fripouille. Heureusement pour Guignol un petit groupe d'enfants a assisté à ce simili enlèvement. Guignol et les enfants vont partir sur les traces des deux fugitifs…
Réalisation : Jérémie Reichenbach
Durée : 52' (4x13')
Production : 2011
Coproduction : Cap Canal / TL7 / Avec le soutien de la Cie Les Zonzons et la participation du Centre National du Cinéma et de l'Image Animée
Producteur délégué: Philippe Djivas
Réseau "Feux d'Amérique Latine"
Un homme du village de Neguá, sur la côte colombienne, a pu monter au ciel.
Au retour il a dit qu'il avait pu regarder depuis l’au-delà, la vie humaine. Et il a dit que nous sommes une mer de petits feux.
« C’est ça le monde. Beaucoup de gens, une mer de petits feux. »
Chaque personne elle-même brille parmi tous les autres. Il n'y a pas deux feux égaux. Il y a des grands feux et des petits feux et des feux de toutes les couleurs.
----- Eduardo Galeano, Le livre des étreintes.----
Après plusieurs mois de travail, Quilombo Films vient de créer le réseau de diffusion de documentaires « Feux d’Amérique Latine » qui a pour volonté de faire découvrir au plus grand nombre la réalité latino-américaine actuelle par le biais de ses nouvelles images documentaires.
Ce projet culturel souhaite ouvrir des nouveaux horizons dans le panorama audiovisuel français afin de permettre aux réalisateurs et réalisatrices latino-américain(e)s d’échanger avec un public européen et de montrer ainsi les enjeux stratégiques et les problématiques majeures (culture, société, histoire, politique…) auxquelles leurs pays sont confrontés.
Des films exigeants faits par des cinéastes de la région constituent notre base de données ; du Rio Bravo à La Patagonie.
D’ores et déjà, nous disposons des bureaux d’accueil de projets dans les pays suivants :
Mexique, Colombie, Brésil, Argentine, Paraguay, Venezuela et Cuba.
Plus d’info: quilombofilms@hotmail.fr
Au retour il a dit qu'il avait pu regarder depuis l’au-delà, la vie humaine. Et il a dit que nous sommes une mer de petits feux.
« C’est ça le monde. Beaucoup de gens, une mer de petits feux. »
Chaque personne elle-même brille parmi tous les autres. Il n'y a pas deux feux égaux. Il y a des grands feux et des petits feux et des feux de toutes les couleurs.
----- Eduardo Galeano, Le livre des étreintes.----
Après plusieurs mois de travail, Quilombo Films vient de créer le réseau de diffusion de documentaires « Feux d’Amérique Latine » qui a pour volonté de faire découvrir au plus grand nombre la réalité latino-américaine actuelle par le biais de ses nouvelles images documentaires.
Ce projet culturel souhaite ouvrir des nouveaux horizons dans le panorama audiovisuel français afin de permettre aux réalisateurs et réalisatrices latino-américain(e)s d’échanger avec un public européen et de montrer ainsi les enjeux stratégiques et les problématiques majeures (culture, société, histoire, politique…) auxquelles leurs pays sont confrontés.
Des films exigeants faits par des cinéastes de la région constituent notre base de données ; du Rio Bravo à La Patagonie.
D’ores et déjà, nous disposons des bureaux d’accueil de projets dans les pays suivants :
Mexique, Colombie, Brésil, Argentine, Paraguay, Venezuela et Cuba.
Plus d’info: quilombofilms@hotmail.fr
Jours de poussière
En février 2010, le président du Niger, M. Mamadou Tandja était renversé à la suite d'un coup d'état perpetré par les militaires. Il s'agissait du quatrième coup d'État militaire depuis l'indépendance du pays en 1960. La Constitution a été suspendue, et toutes les institutions qui en dépendaient ont été dissoutes.
Riche en matières premières, le Niger représente un enjeu stratégique pour des pays comme la France et la Chine. En effet, avec 7,5 % de la production mondiale, il est l’un des premiers producteurs d’uranium. Ce pays, hélas, occupe la dernière place au classement de l’indice de développement humain (IDH) effectué par le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) sur 182 pays membres de l’ONU.
Ces jour-là, le 17 et 18 février, resteront dans nos mémoires comme des Jours de poussière, essai filmique de Jérémie Reichenbach qui vient d'obtenir une aide à la postproduction d'un montant de 10 000 euros, soutien du département 93 à travers le dispositif "L'aide au film court en Seine-Saint-Denis".
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Riche en matières premières, le Niger représente un enjeu stratégique pour des pays comme la France et la Chine. En effet, avec 7,5 % de la production mondiale, il est l’un des premiers producteurs d’uranium. Ce pays, hélas, occupe la dernière place au classement de l’indice de développement humain (IDH) effectué par le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) sur 182 pays membres de l’ONU.
Ces jour-là, le 17 et 18 février, resteront dans nos mémoires comme des Jours de poussière, essai filmique de Jérémie Reichenbach qui vient d'obtenir une aide à la postproduction d'un montant de 10 000 euros, soutien du département 93 à travers le dispositif "L'aide au film court en Seine-Saint-Denis".
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Films en développement
Quand passe le train (26 minutes)
Chaque jour, des centaines d’hommes et de femmes traversent le Mexique entassés sur le toit des trains de marchandises. Portés par le rêve d’une vie meilleure, ces voyageurs de mauvaise fortune, originaires du Guatemala, du Honduras ou du Salvador, ont l’espoir de passer la frontière des Etats-Unis.
Pendant les longues semaines que dure le voyage, ils supportent la chaleur, la faim et le froid et sont parfois la proie des cartels, victimes de racket, d’enlèvements ou même d’assassinat…
Le village de La Patrona, au centre du Mexique, est traversé par une des voies de chemin de fer sur lesquelles circulent ces trains.
Il y a une quinzaine d’années, Norma et sa sœur Bernarda n’étaient pas particulièrement sensibles au sort des migrants qu’elles prenaient pour des vagabonds. Mais un jour le train marqua l’arrêt dans le village. Elles ont alors pris conscience de la souffrance de ces voyageurs, parfois très jeunes. Plus tard, un autre train s’arrête sur lequel un jeune homme blessé est inconscient. Alors que ni l’hôpital ni les médecins ne veulent le prendre en charge, bravant la loi, elles le recueillent et parviennent in extremis à le ramener à la vie. Norma a alors une révélation : Voilà le rôle que Dieu lui a confié sur terre.
Depuis, Norma, Bernarda et une dizaine d’autres femmes, nièces, belles-sœurs et cousines, se sont donné pour mission d’aider les migrants. Chaque jour, elles préparent de la nourriture en grande quantité et remplissent des dizaines de bouteilles d’eau.
Et quand siffle le train, à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit, elles se postent toutes, en ligne, le long des rails.
A lieu, alors, une scène d’une rare intensité...
Chaque jour, des centaines d’hommes et de femmes traversent le Mexique entassés sur le toit des trains de marchandises. Portés par le rêve d’une vie meilleure, ces voyageurs de mauvaise fortune, originaires du Guatemala, du Honduras ou du Salvador, ont l’espoir de passer la frontière des Etats-Unis.
Pendant les longues semaines que dure le voyage, ils supportent la chaleur, la faim et le froid et sont parfois la proie des cartels, victimes de racket, d’enlèvements ou même d’assassinat…
Le village de La Patrona, au centre du Mexique, est traversé par une des voies de chemin de fer sur lesquelles circulent ces trains.
Il y a une quinzaine d’années, Norma et sa sœur Bernarda n’étaient pas particulièrement sensibles au sort des migrants qu’elles prenaient pour des vagabonds. Mais un jour le train marqua l’arrêt dans le village. Elles ont alors pris conscience de la souffrance de ces voyageurs, parfois très jeunes. Plus tard, un autre train s’arrête sur lequel un jeune homme blessé est inconscient. Alors que ni l’hôpital ni les médecins ne veulent le prendre en charge, bravant la loi, elles le recueillent et parviennent in extremis à le ramener à la vie. Norma a alors une révélation : Voilà le rôle que Dieu lui a confié sur terre.
Depuis, Norma, Bernarda et une dizaine d’autres femmes, nièces, belles-sœurs et cousines, se sont donné pour mission d’aider les migrants. Chaque jour, elles préparent de la nourriture en grande quantité et remplissent des dizaines de bouteilles d’eau.
Et quand siffle le train, à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit, elles se postent toutes, en ligne, le long des rails.
A lieu, alors, une scène d’une rare intensité...
"De chair et de sang" obtient l'aide au développement du FAI
Le fonds d’aide à l’innovation audiovisuelle (FAI) a été mis en place par le Centre national du cinéma et de l'image animée (www.cnc.fr), afin de favoriser la création d’œuvres à caractère innovant pour la télévision.
Le caractère innovant des projets d’œuvres pour la télévision est apprécié en considération notamment de leur format, de leur dramaturgie et de leur réalisation. L’aide au développement est destinée aux entreprises de production dans le but de développer conjointement avec un ou plusieurs auteurs un projet d’œuvre télévisuelle à caractère innovant.
L'équipe de Quilombo Films a le plaisir de vous annoncer que le documentaire De chair et de sang de Jérémie Reichenbach vient d'obtenir 16 000 euros au titre de l'aide au développement octroyée par le fonds d’aide à l’innovation audiovisuelle du CNC. En 2010 une aide à l'écriture du même FAI avait été attribuée à l'auteur pour le même film (7 500 euros) ainsi que la bourse de la SCAM "Brouillon d'un rêve" (3 000 euros).
Le caractère innovant des projets d’œuvres pour la télévision est apprécié en considération notamment de leur format, de leur dramaturgie et de leur réalisation. L’aide au développement est destinée aux entreprises de production dans le but de développer conjointement avec un ou plusieurs auteurs un projet d’œuvre télévisuelle à caractère innovant.
L'équipe de Quilombo Films a le plaisir de vous annoncer que le documentaire De chair et de sang de Jérémie Reichenbach vient d'obtenir 16 000 euros au titre de l'aide au développement octroyée par le fonds d’aide à l’innovation audiovisuelle du CNC. En 2010 une aide à l'écriture du même FAI avait été attribuée à l'auteur pour le même film (7 500 euros) ainsi que la bourse de la SCAM "Brouillon d'un rêve" (3 000 euros).
Films en développement
"De chair et de sang" écrit par Jérémie Reichenbach.-
A Bahia Blanca, en Argentine, un abattoir est autogéré par ses travailleurs.
Chaque matin à l’aube, entre cent et deux cents vaches y sont tuées et dépecées.
Tato, Willy Gordo, Pachaca, Enrique et Claudia font partie des soixante et onze
personnes qui y travaillent sans chef ni patron.
Les membres de cette coopérative se réunissent pour discuter des montants des
salaires, des investissements et de tout ce qui concerne la gestion leur entreprise.
Suite à sa fermeture en 2005, ils se sont battus pendant deux ans pour récupérer
leur ancien lieu de travail. Maintenant que la société est bénéficiaire grâce à la
vente du cuir, il a été décidé de répartir l’argent en dédommagement de cette
période pendant laquelle ils ne percevaient pas de salaire.
Mais pendant la lutte, tous n’étaient pas investis de la même manière, alors
comment faut-il évaluer la part de chacun?
Les propositions sont nombreuses. Il faut voter.
Ce film nous plonge dans le quotidien de ce lieu singulier, où se côtoient
constamment la vie, la mort et la politique.
A Bahia Blanca, en Argentine, un abattoir est autogéré par ses travailleurs.
Chaque matin à l’aube, entre cent et deux cents vaches y sont tuées et dépecées.
Tato, Willy Gordo, Pachaca, Enrique et Claudia font partie des soixante et onze
personnes qui y travaillent sans chef ni patron.
Les membres de cette coopérative se réunissent pour discuter des montants des
salaires, des investissements et de tout ce qui concerne la gestion leur entreprise.
Suite à sa fermeture en 2005, ils se sont battus pendant deux ans pour récupérer
leur ancien lieu de travail. Maintenant que la société est bénéficiaire grâce à la
vente du cuir, il a été décidé de répartir l’argent en dédommagement de cette
période pendant laquelle ils ne percevaient pas de salaire.
Mais pendant la lutte, tous n’étaient pas investis de la même manière, alors
comment faut-il évaluer la part de chacun?
Les propositions sont nombreuses. Il faut voter.
Ce film nous plonge dans le quotidien de ce lieu singulier, où se côtoient
constamment la vie, la mort et la politique.
Présentation
En Afrique bantoue, le quilombo est une société d’initiation de jeunes guerriers, ou un lieu de repos pour les nomades. Au Brésil, au temps de l’esclavage, le quilombo désigne les villages et communautés formés par les esclaves en fuite dans les régions reculées.
Créée en novembre 2010 Quilombo Films est une société de production indépendante spécialisée dans le cinéma documentaire de création.
Quilombo Films a pour but de produire de films exigeants tant par la force de leur contenu que par leur recherche formelles, autour de problématiques sociales, historiques, artistiques et culturelles.
Au sein de Quilombo Films sont actuellement développés une dizaine de projets de films documentaires. Néanmoins nous sommes à la recherche de nouveaux projets innovants qui puissent témoigner du regard engagé des auteurs.
L'équipe de Quilombo Films vous souhaite une heureuse année 2011.
Créée en novembre 2010 Quilombo Films est une société de production indépendante spécialisée dans le cinéma documentaire de création.
Quilombo Films a pour but de produire de films exigeants tant par la force de leur contenu que par leur recherche formelles, autour de problématiques sociales, historiques, artistiques et culturelles.
Au sein de Quilombo Films sont actuellement développés une dizaine de projets de films documentaires. Néanmoins nous sommes à la recherche de nouveaux projets innovants qui puissent témoigner du regard engagé des auteurs.
L'équipe de Quilombo Films vous souhaite une heureuse année 2011.
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